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Présentation

Le Centre technique des industries mécaniques a été créé en 1965, à la demande des industriels de la mécanique afin d’apporter aux entreprises des moyens et des compétences pour accroître leur compétitivité, participer à la normalisation, faire le lien entre la recherche scientifique et l’industrie, promouvoir le progrès des techniques, aider à l’amélioration du rendement et à la garantie de la qualité.
Aujourd’hui, ces objectifs se traduisent en différentes missions d’anticipation, d’innovation, de diffusion et de prestations.

Aujourd’hui,

le Cetim s’oriente vers des programmes de recherche technologique et organisationnelle, dans un contexte de plus en plus ouvert au niveau européen et international. Les points les plus marquants de cette évolution concernent en particulier :
- un renouvellement des actions sectorielles et multisectorielles par des regroupements apportant une ampleur significative ;
- une plus forte spécialisation des compétences autour de grands projets fédérateurs afin d’acquérir une visibilité européenne ;
- une démarche d’innovation plus soutenue en favorisant le co-développement, plus particulièrement avec les PME ;
- la poursuite de la mise en réseau au niveau régional de manière à ancrer les actions dans le cadre des pôles de compétitivité ;
- une action de communication plus interactive évoluant de la diffusion d’informations vers l’échange en ligne ;
- un développement international des prestations par une offre d’ingénierie en coopération avec les entreprises mécaniciennes françaises.
Le Cetim est labellisé Institut Carnot depuis 2006.

L’anticipation

technologique s’organise autour d’une veille stratégique des technologies et des marchés mettant en avant les évolutions prévisibles. L’occasion d’anticiper les ruptures (travail en réseau, entreprise étendue, développement des services…). 5 % du financement collectif sont alloués à cette mission.

L’innovation

technologique comprend les travaux en partenariat avec les milieux scientifiques, les études à caractère général, les grands projets fédérateurs, l’activité de R&D sectorielle et multisectorielle, la normalisation, le développement du potentiel humain et des moyens matériels. Cette mission représente 70 % du financement collectif.

La diffusion

de l’information technologique et des résultats de l’action collective se rapportent aux actions régionales, de communication, d’aide au transfert des résultats. Un investissement de 25 % du financement collectif.

Les prestations

de services constituent un complément naturel des actions et projets collectifs. Elles se déclinent en actions de conseil, d’ingénierie, d’essais. Elles ne reçoivent aucun financement collectif.